Marioupol : l'attaque russe sur un hôpital pédiatrique fait encore deux victimes mortelles

Publié le 14 mars 2022
Le bombardement russe d'un hôpital pédiatrique et maternité, effectué ce mercredi 9 mars dans la ville ukrainienne de Marioupol, a fait encore deux victimes mortelles, en plus des trois personnes (dont un enfant) qui étaient déjà mortes lors de l'attaque. Ce lundi, l'agence de presse AP rapporte qu' une femme enceinte est morte suite à ses blessures (le jour précis de sa mort est inconnu). Son bébé a été mis au monde par césarienne, mais il n'a pas survécu non plus. Un docteur a déclaré que « plus de 30 minutes de réanimation n'ont donné aucun résultat pour la mère et l'enfant ».
Après l'attaque russe sur l'hôpital, la femme a été photographiée au moment où elle était transportée sur un brancard, grièvement blessée. Cette photo, avec une série d'autres prises après le bombardement, a fait le tour du monde, symbolisant la cruauté de la guerre.

Ce dossier permet de situer cet article dans son contexte.
Sources
[modifier | modifier le wikicode]- ((fr)) – « Bombardement de l’hôpital pédiatrique de Marioupol: une femme enceinte et son bébé n’ont pas survécu ». Libération (journal), 14 mars 2022.
- ((fr)) – « Guerre en Ukraine : la femme enceinte photographiée après le bombardement d'une maternité à Marioupol est morte ». France Info, 14 mars 2022.
- ((en)) – « Ukraine war: Pregnant woman and baby die after hospital shelled ». British Broadcasting Corporation, 14 mars 2022.
- ((fr)) – « Bombardement de l’hôpital pédiatrique de Marioupol: une femme enceinte et son bébé n’ont pas survécu ». Libération (journal), 14 mars 2022.