Publié le 12 janvier 2010
La 10e étape du Rallye Dakar s'est élancée de La Serena vers Santiago, dans une étape exclusivement chilienne, pour une spéciale de 238 km, pour toutes les catégories de véhicules.
Carlos Sainz, 1er au classement général auto depuis la 5e étape, explique n'avoir eut « aucun problème ». Il poursuit : « 80 kilomètres après le départ, on a rattrapé Nasser (ndlr : Saleh Al-Attiyah). On est resté derrière, parce qu'il n'entendait pas le Sentinel et que l'on ne pouvait pas passer. C'est un parcours assez lent, sinueux. Il s’agissait plus souvent de chemins. Ce que j'ai fait d'abord, c'est de me rapprocher de Nasser, et puis je suis resté à peu près à 1’40’’. Ensuite, à partir du km 80, c'est moi qui étais dans la poussière ». Pour Nasser Saleh Al-Attiyah, 2e derière Sainz, l'étape était « plutôt dangereu[se] à cette vitesse », ajoutant qu'« il y avait énormément de stress aujourd'hui pour moi, parce que j'ouvrais la route. Je ne connaissais pas les distances de freinage. En tout cas, personne n'a réussit à nous doubler. Carlos nous a rattrapé dans les 50 derniers kilomètres. Je suis plutôt satisfait. Quand on ouvre la spéciale, il faut s'attendre à perdre du temps. Demain, il y aura plus de sable et d'hors-piste. Ça sera bien pour moi ».