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{{Date|26 novembre 2016}} Ana Inès Ansaldo, professeure à l'École d'orthophonie et d'audiologie de l'Université de Montréal a développé sur le pourquoi plusieurs chercheurs confirment que les gens bilingues développent des symptômes reliés à la maladie d'Alzheimer plus tard que les unilingues.
Effectivement, plusieurs recherches ont prouvé ce fait. À la base, les chercheurs ont associé cette relation entre le bilinguisme et cette maladie à d'autres facteurs liés au fait de maîtriser plus d'une langue comme, par exemple, le niveau de scolarité. Par contre, une étude a démontré que même les personnes analphabètes bilingues sont moins propices à développer cette maladie. Cela est dû au fait que ces gens possèdent une meilleure gestion de l'interférence, en d'autres termes, qu'ils arrivent davantage à se concentrer sur les informations importantes tout en ignorant les autres qui arrivent simultanément.
De plus, les chercheurs ont aussi remarqué que le bilinguisme génère plus de matière grise et de substance blanche, deux substances importantes dont la perte importante en vieillissant laisse apparaître des symptômes de démence liés à la maladie d'Alzheimer. D'autre part, les gens bilingues ont besoin d'activer moins d'aires cérébrales différentes pour réaliser une tâche que les unilingues. De cette façon, les lobes vulnérables au vieillissement sont moins utilisés et perdre alors moins de matière grise.
Sources
[modifier | modifier le wikicode]- ((fr)) – Pauline Gravel, « Maladie d'Alzheimer, les avantages du bilinguisme ». Le devoir, 19 novembre 2016.
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