« Le virus ne peut pas se transmettre d'homme à homme » et « il n'y a pas de motif pour que les résidents de Shenzhen cèdent à la panique », a indiqué le Centre de contrôle et de prévention des maladies du Shenzhen, dans le sud de la Chine.
Sources
((fr)) – Florence De Changy et Brice Pedroletti, « La Chine se veut rassurante après un décès dû à la grippe aviaire ». Le Monde, 6 janvier 2012.
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