Élection présidentielle française de 2012 : Marine Le Pen en visite aux États-Unis

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Marine Le Pen en 2010.

Publié le 4 novembre 2011
La candidate du parti frontiste Marine Le Pen fait sa stature internationale aux États-Unis, où elle est en déplacement. Après Washington, New-York. Elle a rencontré l'ambassadeur d'Israël aux Nations Unis, Ron Prosor, « un homme charmant ». L'entretien aurait été « chaleureux » selon un témoin. « Nous apprécions la diversité d'opinions », « nous avons parlé de l'Europe et d'autres questions, et j'ai beaucoup apprécié la conversation », a commenté l'ambassadeur à l'issu de l'entretien.

Pour elle, « une digue a cédé » avec cette rencontre. « Chaque fois que l'on peut faire tomber une barrière, c'est une victoire », explique la présidente du front. « La page [est] tournée avec son lot de malentendus ». Elle n'a pas visité à Washington le musée du Mémorial de l'Holocauste, comme cela était pourtant prévu, « pour des raisons de temps ».

Au début de son déplacement à Washington, elle expliquait : « Aujourd'hui, je m’aperçois qu'un certain nombre de pressions existent, que le politiquement correct aussi fait des ravages » alors qu'elle pensait que « les États-Unis était un pays totalement libre ». Avant de dénoncer le détournement de sa fonction du FMI, le fond « est devenu, une machine à broyer les peuples » et « d'affameur de peuple ». Expliquant que « sous la direction de Dominique Strauss-Kahn comme sous la direction de [Christine] Lagarde, le FMI est devenu le chien de garde du GATT devenu l'OMC, de l'ultra-libéralisme mondialisé à la botte de la finance internationale ».

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