« Résultats du premier tour des élections municipales françaises de 2008 » : différence entre les versions

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Alors que le taux de participation avait atteint 67,29&nbsp;% en 2001, il aurait atteint cette fois-ci entre 68&nbsp;% et 70,5&nbsp;% selon les estimations de différents instituts de sondage. Le taux de participation aux cantonales (54,53&nbsp;%) est inférieur à celui de 2001 (55,55&nbsp;%) mais supérieur à celui de 2004 (52,64&nbsp;%).
Alors que le taux de participation avait atteint 67,29&nbsp;% en 2001, il n'a atteint cette fois-ci que 61&nbsp;%. Le taux de participation aux cantonales (54,53&nbsp;%) est lui aussi inférieur à celui de 2001 (55,55&nbsp;%) mais supérieur à celui de 2004 (52,64&nbsp;%).


;La gauche en position de force
;La gauche en position de force
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|titre=La gauche en position de force avant le deuxième tour
|auteur=Marie Valla
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Version du 10 mars 2008 à 22:11

Résultats dans les trente villes les plus peuplés de France[1]

██ Villes où une liste soutenue par la droite (notamment l'UMP) remporte le scrutin dès le premier tour
██ Villes où une liste soutenue par la droite (notamment l'UMP) arrive en tête
██Villes où une liste soutenue par la gauche (notamment le PS) remporte le scrutin dès le premier tour

██ Villes où une liste soutenue par la gauche (notamment le PS) arrive en tête

Publié le 9 mars 2008
Le premier tour des élections municipales françaises de 2008 se déroulaient ce dimanche. Les 44 millions d'électeurs (dont 250 000 citoyens d'un autre pays de l'Union européenne) étaient invités à élire les conseillers des 36 782 communes du pays. Par ailleurs, 2 020 conseillers généraux, représentant la moitié des cantons, remettaient leur siège en jeu. Les bureaux de vote étaient ouverts jusqu'à 18h voire 19h ou 20h pour les grandes villes.

Taux de participation

Selon le Ministère de l'Intérieur français, le taux de participation s'élevait à midi à 23 % pour les municipales (contre 20,57 % à la même heure en 2001) et à 22,25 % pour les cantonales (contre 19,26 % en 2001 et 16,98 % en 2004).

Alors que le taux de participation avait atteint 67,29 % en 2001, il n'a atteint cette fois-ci que 61 %. Le taux de participation aux cantonales (54,53 %) est lui aussi inférieur à celui de 2001 (55,55 %) mais supérieur à celui de 2004 (52,64 %).

La gauche en position de force

Comme cela était attendu, les listes conduites par la gauche sont globalement en position de force au terme de ce premier tour. La gauche conserve ainsi dès le premier tour Tourcoing, Le Mans, Dijon et Lyon. Elle conquiert même les villes de Nantes, de Rouen, de Laval et d'Alençon et en très bonne position pour l'emporter dimanche prochain à Lille, Caen, Rennes, Brest et Strasbourg.

Cependant la droite conserve certains bastions : à Bordeaux, Alain Juppé est réélu dès le premier tour avec 56,62 % des suffrages face à Alain Rousset (34,14 %). Parmi les membres du gouvernement, Éric Woerth (Chantilly), Xavier Bertrand (Saint-Quentin), Jean-Louis Borloo et Valérie Létard (Valenciennes), Michèle Alliot-Marie (Saint-Jean-de-Luz) et Dominique Bussereau (Saint-Georges-de-Didonne) conservent leur fauteuil, tout comme Jean-François Copé qui préside le groupe UMP à l'Assemblée nationale à Meaux. À Périgueux, le ministre Xavier Darcos est égalité avec la liste du PS (46 %).

La gauche en tête à Paris

Bertrand Delanoë arrive largement en tête à Paris, recueillant 42 % des voix contre 28 % pour sa rivale Françoise de Panafieu. Marielle de Sarnez (Modem) et (Les Verts) obtiennent respectivement 9 et 7 % des suffrages.

Gérard Collomb conserve son fauteuil à Lyon

A Lyon, le socialiste Gérard Collomb remporte dès le premier tour six des neufs arrondissements de la capitale des Gaules, récoltant 52,96 % des voix contre 32 % pour le candidat UMP Dominique Perben.

Résultats serrés à Marseille comme à Toulouse

Dans la cité phocéenne, Jean-Claude Gaudin, le maire UMP sortant, et le socialiste Jean-Noël Guérini obtiendraient respectivement 41 % et 39 % des voix. Avec 9 % des voix, la liste du FN est en mesure de se maintenir dans certains arrondissements de la ville tandis que le Modem dépasse tout juste la barre de 5 %.
À Toulouse, le maire sortant (centriste soutenu par l'UMP), Jean-Luc Moudenc a quelques points d'avance sur son rival socialiste Pierre Cohen (42,6 % contre 39 %) mais disposent de très faibles réserves de voix. Dans la ville rosse, ni le candidat du Modem Jean-Luc Forget (6 %), ni la liste LCR (5,07 %), ni la liste altermondialiste de François Simon (5,42 %) ne pourront se maintenir.

Notes

  1. ██ Saint-Denis de La Réunion

Sources