« Coup de filet contre la scientologie en Belgique » : différence entre les versions

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Selon des témoins, les autorités [[w:Belgique|belges]] ont saisi des documents, des rapports financiers et des ordinateurs au siège [[w:Bruxelles|bruxellois]] de l'église de [[w:scientologie|scientologie]], avant de placer le bâtiment sous scellés.
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L'église fait l'objet en Belgique d'une enquête pour extorsion de fonds et pour fraudes. La scientologie est accusée d'avoir publié de fausses offres d'emploi dans les journaux pour ensuite inciter les candidats à adhérer à l'organisation. Plusieurs anciens membres de l'église ont également signalé des intimidations et des extorsions. La police belge a enquêté pendant près de dix ans, avant de lancer ce coup de filet.
L'Église fait l'objet en Belgique d'une enquête pour extorsion de fonds et pour fraudes. La scientologie est accusée d'avoir publié de fausses offres d'emploi dans les journaux pour ensuite inciter les candidats à adhérer à l'organisation. Plusieurs anciens membres de l'Église ont également signalé des intimidations et des extorsions. La police belge a enquêté pendant près de dix ans, avant de lancer ce coup de filet.


Dans une déclaration à la presse, l'église de scientologie indique que la police {{Citation|a violé ses droits fondamentaux}} en tant qu'organisation religieuse et fustige la {{Citation|mauvaise foi}} de la justice belge. L'organisation conteste toutes les accusations dirigées contre elle et affirme que les offres faisaient appel à des volontaires et non à des salariés.
Dans une déclaration à la presse, l'Église de scientologie indique que la police {{Citation|a violé ses droits fondamentaux}} en tant qu'organisation religieuse et fustige la {{Citation|mauvaise foi}} de la justice belge. L'organisation conteste toutes les accusations dirigées contre elle et affirme que les offres faisaient appel à des volontaires et non à des salariés.


Jusqu'à présent, aucune personne n'a été arrêtée, mais certains employés de l'église ont été interrogés par la police. Le siège de la scientologie demeurera fermé jusqu'à nouvel ordre.
Jusqu'à présent, aucune personne n'a été arrêtée, mais certains employés de l'Église ont été interrogés par la police. Le siège de la scientologie demeurera fermé jusqu'à nouvel ordre.


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Version du 8 novembre 2009 à 21:10

Symbole de l'église de scientologie.

Publié le 12 avril 2008
Selon des témoins, les autorités belges ont saisi des documents, des rapports financiers et des ordinateurs au siège bruxellois de l'Église de scientologie, avant de placer le bâtiment sous scellés.

L'Église fait l'objet en Belgique d'une enquête pour extorsion de fonds et pour fraudes. La scientologie est accusée d'avoir publié de fausses offres d'emploi dans les journaux pour ensuite inciter les candidats à adhérer à l'organisation. Plusieurs anciens membres de l'Église ont également signalé des intimidations et des extorsions. La police belge a enquêté pendant près de dix ans, avant de lancer ce coup de filet.

Dans une déclaration à la presse, l'Église de scientologie indique que la police « a violé ses droits fondamentaux » en tant qu'organisation religieuse et fustige la « mauvaise foi » de la justice belge. L'organisation conteste toutes les accusations dirigées contre elle et affirme que les offres faisaient appel à des volontaires et non à des salariés.

Jusqu'à présent, aucune personne n'a été arrêtée, mais certains employés de l'Église ont été interrogés par la police. Le siège de la scientologie demeurera fermé jusqu'à nouvel ordre.

Sources