« France : Fête de la fraternité, deuxième édition » : différence entre les versions

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Version du 20 septembre 2009 à 11:22

Ségolène Royal et Najat Belkacem durant la Fête de la fraternité.

Publié le 20 septembre 2009
Dans le domaine de Grammont à Montpellier en France, l'association/parti politique, Désir d'avenir, où sa présidente Ségolène Royal a tenu sa deuxième Fête de la fraternité.

À l'ordre du jour de nombreux débats, dont un sur l'éducation et un autre sur la fraternité, en présence de militants venus de toutes la France, d'Algérie et de Belgique[1].

Lors de la conférence sur l'Éducation, Université populaire participative sur l'éducation, Dominique Bertinotti avait « un rêve », que tout « enfants qui viennent au monde (...) reçoivent de notre société une réelle égalité des chances ».

En clôture de ce débat, la socialiste Ségolène Royal est arrivée, attendu par plus de 80 médias[2] et le public présent.

C'est alors qu'a commencé la prise de parole sur la fraternité avec des personnalité politiques, Najat Belkacem, ou encore Guillaume Garot, la journaliste cinéaste Marie-Moniue Robin, plus connu pour son film Le monde selon Monsato et le poète Daniel Maximim.

C'est Royal qui, pour clôturer la journée, a prononcé un discours devant un parterre de près de 3000[2] partisans déjà conquis lançant des « Ségolène » avant son arrivée.

On observe un changement radical dans la communication par rapport à la 1ere Fête de la fraternité, où elle était apparue sans pupitre, libre dans ces mouvements, ce qui contraste avec cette deuxième édition, où celle-ci utilise un cadre sobre et répondant au type du meeting politique plus classique.

Un militant nous a confié à propos des triches supposées lors de l'élection du premier secrétaire du Parti Socialiste qu'il « aurait espéré que ce soit Martine Aubry qui soit honnête » et qu'après tout « il faut que çà s'arrête ».

À de nombreuses reprises, par différents militants, intervenants, on affirmait que leur « adversaire s'est Sarkozy pas le PS ».

Notes

Sources


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