« Gilets jaunes : dimanche 6 janvier 2019 » : différence entre les versions

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m Talmont-Saint-Hilaire. Un mur de parpaings édifié devant l’entrée de la députée Patricia Gallerneau
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Dans la nuit de samedi à dimanche, entre 3 heures du matin et le lever du jour, un mur d'une cinquantaine de parpaings non scellés, soutenus par des planches en bois, a été édifié devant l’entrée du garage de la députée LaREM, Patricia Gallerneau. Les gendarmes de la brigade territoriale de Talmont-Saint-Hilaire sont venus démonter cette paroi éphémère.


Vers 6h00, à Saint-Etienne, quatre individus ont incendié une cabane de Gilets jaunes et ont aspergé de carburant le chien et les deux occupants du cabanon au campement du quartier stéphanois de Méons. Les quatre individus avaient été exclus du campement.
Vers 6h00, à Saint-Etienne, quatre individus ont incendié une cabane de Gilets jaunes et ont aspergé de carburant le chien et les deux occupants du cabanon au campement du quartier stéphanois de Méons. Les quatre individus avaient été exclus du campement.
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Version du 7 janvier 2019 à 05:21

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Publié le 6 janvier 2019
Cette journée des « gilets jaunes » du dimanche 6 janvier 2019 est la 51ème journée qui fait suite à la journée du 5 janvier, et tout au début, celle du samedi 17 novembre 2018.

Dans la nuit de samedi à dimanche, entre 3 heures du matin et le lever du jour, un mur d'une cinquantaine de parpaings non scellés, soutenus par des planches en bois, a été édifié devant l’entrée du garage de la députée LaREM, Patricia Gallerneau. Les gendarmes de la brigade territoriale de Talmont-Saint-Hilaire sont venus démonter cette paroi éphémère.

Vers 6h00, à Saint-Etienne, quatre individus ont incendié une cabane de Gilets jaunes et ont aspergé de carburant le chien et les deux occupants du cabanon au campement du quartier stéphanois de Méons. Les quatre individus avaient été exclus du campement.

À 11h00, place de la Bastille, plusieurs centaines de femmes Gilets jaunes se sont rassemblées, perturbant la circulation, avant de se diriger vers la place de la République. Elles ont chanté la Marseillaise, des ballons jaunes à la main. Au rythme des « Macron t'es foutu, les gonzesses sont dans la rue ! », elles ont marché derrière une grande banderole noire sur laquelle on pouvait lire : « Précarisées, discriminées, révoltées, Femmes en première ligne ».

Vers 14h30, dans l'émission « Questions politiques » de France Inter/Le Monde, à propos des violences d'hier, le secrétaire général du syndicat CFDT, Laurent Berger, a dénoncé un « déferlement de violence raciste, antisémite et anti-républicaine » et a appelé à « arrêter d'être naïfs et irresponsables » face à des « factieux » anti-démocrate, des gens d'extrême droite et peut-être d'extrême gauche.

Vers 15h30, à Montélimar (Drôme), 200 Gilets jaunes sont venus sonner au domicile du maire pour lui reprocher de ne pas avoir installé de cahier de doléance dans la mairie. Franck Reynier leur a donné rendez-vous demain lundi, à 11h à la mairie.

Vers 16h15, les gendarmes ont expulsé une cinquantaine de Gilets jaunes de l'aéroport de Dole-Jura.

Vers 18h30, menacé de mort pour la caricature du Gilet jaune Eric Drouet, paru dans le Courrier Picard et dans l'Union l'Ardennais vendredi dernier, le dessinateur amiénois Alex a dit qu'il a porté plainte.

Sur le réseau autoroutier et sur décision préfectorale, plusieurs échangeurs d'autoroutes ont encore été partiellement ou complètement fermés non loin des actions des Gilets jaunes :

  • l'A7 à Bollène (n°19);
  • l'A9 à Narbonne Sud (n°38) et Agde (n°34);
  • l'A50 au péage de Bandol.

La prudence est recommandée au niveau des accès et sortie des autoroutes A10, A11, A89, A7, A9, A61, A50 et A51, où quelques manifestations peuvent provoquent des perturbations.

Vers 19h00, sur BFM, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a affirmé avoir déjà débloqué 32 millions d'euros pour payer les salaires de quelque 58 000 personnes au chômage partiel du fait de la crise des Gilets jaunes.

Sources

Voir aussi

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