« Économie : le prix du baril de pétrole chute sous les 50 dollars américains » : différence entre les versions
[version vérifiée] | [version vérifiée] |
premier jet |
wikif |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Date|6 janvier 2015}} |
{{Date|6 janvier 2015}} |
||
Le prix du baril de pétrole a continué de chuter sur les marchés financier en ce début d'année 2015, glissant à 50 dollars américain, son plus bas niveau depuis 2009. Pour les investisseurs, de retour du congé des Fêtes, c'est la peur de voir un surplus de l'offre de l'or noir qui entraîne cette chute de prix. En particulier la production de pétrole russe et |
Le prix du {{w|Unité de l'industrie du pétrole et du gaz|baril de pétrole}} a continué de chuter sur les marchés financier en ce début d'année 2015, glissant à 50 {{w|Dollar américain|dollars américain}}, son plus bas niveau depuis 2009. Pour les investisseurs, de retour du congé des Fêtes, c'est la peur de voir un surplus de l'offre de l'{{w|Pétrole|or noir}} qui entraîne cette chute de prix. En particulier la production de pétrole {{w|Russie|russe}} et {{w|Irak|irakien}} ont atteint des sommets dernièrement. La tendance de la baisse des prix qui a débuté en juin 2014, c'est accentuée depuis la décision prise par les membres de l'{{w|Organisation des pays exportateurs de pétrole|OPEP}} en novembre dernier de maintenir leurs niveaux de production à 30 millions de barils par jour. D'autres indicateurs économiques renforcent ces craintes, en particulier en ce qui concerne la faiblesse de la demande mondiale au vue des résultats économiques décevants de la {{w|Chine}} et de l'{{w|Europe}}. |
||
== Sources == |
== Sources == |
Version du 6 janvier 2015 à 03:12
Publié le 6 janvier 2015
Le prix du baril de pétrole a continué de chuter sur les marchés financier en ce début d'année 2015, glissant à 50 dollars américain, son plus bas niveau depuis 2009. Pour les investisseurs, de retour du congé des Fêtes, c'est la peur de voir un surplus de l'offre de l'or noir qui entraîne cette chute de prix. En particulier la production de pétrole russe et irakien ont atteint des sommets dernièrement. La tendance de la baisse des prix qui a débuté en juin 2014, c'est accentuée depuis la décision prise par les membres de l'OPEP en novembre dernier de maintenir leurs niveaux de production à 30 millions de barils par jour. D'autres indicateurs économiques renforcent ces craintes, en particulier en ce qui concerne la faiblesse de la demande mondiale au vue des résultats économiques décevants de la Chine et de l'Europe.
Sources
- ((fr)) – AFP, « Le pétrole clôture à son plus bas depuis 2009 ». La Presse (Montréal), 5 janvier 2015.
- ((fr)) – AFP, « Wall Street fait les frais d'un nouveau plongeon du pétrole ». La Presse (Montréal), 5 janvier 2015.
- Pages
- « Énergie »
- « Économie et affaires » de Wikinews.