« France : le Conseil constitutionnel rejette le compte de campagne 2012 de N. Sarkozy » : différence entre les versions

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Le communiqué précise que {{Citation|c'est à bon droit que la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a rejeté le compte de campagne de M. Sarkozy}}, car les dépenses du président sortant {{Citation|excéd(ait) de {{formatnum:466118}} euros, soit 2,1%, le plafond autorisé}}.
Le communiqué précise que {{Citation|c'est à bon droit que la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a rejeté le compte de campagne de M. Sarkozy}}, car les dépenses du président sortant {{Citation|excéd(ait) de {{formatnum:466118}} euros, soit 2,1%, le plafond autorisé}}.

Le Conseil constitutionnel a notamment estimé que 80% des €3 millions dépensés pour le grand meeting de Villepinte le 11 mars 2012 auraient dû être portés au compte de campagne de Nicolas Sarkozy, et non 50% comme cela avait été fait<ref>[http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/03/13/villepinte-un-meeting-et-une-facture-pour-le-candidat-sarkozy_1656436_1471069.html Villepinte : un meeting et une facture pour le candidat Sarkozy]</ref>.


C'est l'UMP qui avait emprunté 10 millions d'euros pour la campagne de Nicolas Sarkozy. {{Citation1|Si on ne se fait pas rembourser, ce sera un coup très très dur}} concède {{w|Claude Goasguen}}, maire (UMP) du 16{{e}} arrondissement de Paris. {{Citation1|En fait, sans ça, je ne sais pas comment on pourra s’en sortir financièrement...}}.
C'est l'UMP qui avait emprunté 10 millions d'euros pour la campagne de Nicolas Sarkozy. {{Citation1|Si on ne se fait pas rembourser, ce sera un coup très très dur}} concède {{w|Claude Goasguen}}, maire (UMP) du 16{{e}} arrondissement de Paris. {{Citation1|En fait, sans ça, je ne sais pas comment on pourra s’en sortir financièrement...}}.
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L'ex-candidat a déclaré qu'il démissionnait immédiatement du Conseil pour {{Citation|retrouver sa liberté de parole}}.
L'ex-candidat a déclaré qu'il démissionnait immédiatement du Conseil pour {{Citation|retrouver sa liberté de parole}}.


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== Sources ==
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Version du 6 juillet 2013 à 22:22

Publié le 4 juillet 2013
Le Conseil constitutionnel confirme cet après-midi le rejet du compte de campagne 2012 de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle. Cette décision prive le candidat de l'UMP du remboursement par l'État de plus de 10 millions d'euros de frais de campagne.

Le communiqué précise que « c'est à bon droit que la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a rejeté le compte de campagne de M. Sarkozy », car les dépenses du président sortant « excéd(ait) de 466 118 euros, soit 2,1%, le plafond autorisé ».

Le Conseil constitutionnel a notamment estimé que 80% des €3 millions dépensés pour le grand meeting de Villepinte le 11 mars 2012 auraient dû être portés au compte de campagne de Nicolas Sarkozy, et non 50% comme cela avait été fait[1].

C'est l'UMP qui avait emprunté 10 millions d'euros pour la campagne de Nicolas Sarkozy. « Si on ne se fait pas rembourser, ce sera un coup très très dur » concède Claude Goasguen, maire (UMP) du 16e arrondissement de Paris. « En fait, sans ça, je ne sais pas comment on pourra s’en sortir financièrement... ».

L'ex-candidat a déclaré qu'il démissionnait immédiatement du Conseil pour « retrouver sa liberté de parole ».

Notes

Sources


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