Iran : une universitaire française sur le banc des accusés lors du procès de contestataires

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Publié le 8 août 2009
Les autorités iraniennes ont commencé le procès du deuxième groupe de contestataires accusés d'avoir pris part aux désordres qui ont suivi les élections présidentielles du 12 juin, a annoncé samedi l'agence iranienne Fars.

« Parmi les personnes jugées pour avoir participé au mouvement de contestation de la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad figure une universitaire française Clotilde Reiss, accusée d'avoir rassemblé des informations et encouragé les émeutiers », indique l'agence.

Le 1er juillet, Mme Reiss a été interpellée par la police iranienne à l'aéroport au moment où elle s'apprêtait à rentrer en France. Auparavant, elle a été, au cours de cinq mois, assistante d'un professeur de français à Ispahan.

Paris a qualifié les accusations de Téhéran de « sans fondement », Nicolas Sarkozy exhortant les autorités iraniennes à relâcher immédiatement la citoyenne française.

Cet article reprend la totalité ou des extraits de la dépêche de l'agence de presse RIA Novosti intitulée
«  Procès de contestataires en Iran: une universitaire française au banc des accusés » datée du 8 août 2009.

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